Aquò d'Aqui



Pour votre journal c’est l’heure de vérité !

Assurer la succession de notre journaliste, faire plus et mieux pour vous proposer en occitan des contenus d’actualité de qualité, cela ne peut se faire sans votre aide. Et nous nous refusons à l’alternative de sa disparition. Nous pouvons compter sur vous ?

La langue occitane pour dire la société, c’est indispensable et les lecteurs d’Aquò d’Aquí en sont persuadés qui, non seulement s’abonnent à notre revue désormais bimensuelle, mais qui encore lui donnent le coup de pouce financier nécessaire quand nous le leur demandons.

 

Ils savent pourquoi ! Le prix de la revue ainsi reste bas, aussi grâce à eux retraités comme étudiants peuvent avoir accès à nos contenus, s’imprégner des valeurs occitanes, celles du respect réel de la diversité. Avec eux, la langue dira tout cela publiquement à une nouvelle génération.

 

Notre langue supposée morte par les croque morts hexagonaux respire encore grâce à vous.

 








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Aquò d’Aquí n° 289 vos espèra !


Chers abonnés vous êtes en train de sauver votre journal, et l’expression en lenga nòstra dans l’information d’actualité. Encore un effort pour radouber le navire, et il ira loin ! Abonnez-vous, faites abonner…



Il est encore temps de vous abonner pour le recevoir
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Cocanha ! Vous serez trois-cents de plus à profiter de notre mensuel. Nous devions absolument gagner 300 nouveaux abonnés, pour compenser la baisse des subventions publiques qui, brutalement, en mai dernier, avait mis en danger l’existence d’Aquò d’Aquí.

Nouvelle formule en novembre, fête des abonnés en 2017...c'est le moment de nous rejoindre

Ces nouveaux abonnés, et les autres qui nous faisaient déjà confiance pour apporter information et analyse en lenga nòstra, ont permis de redresser la situation, cette année. Leurs dons, au-delà du prix de l’abonnement, vont même nous permettre de lancer, dès novembre, une nouvelle formule pour ce journal. Puisque vous plébiscitez sa continuation, notre responsabilité est de l’améliorer, de le rendre encore plus digne de vous.
 
Pour autant, nous ne sommes pas encore « durables », « soutenables ». Soumis à un retard de versements des subventions qui nous restent, à un défaut de trésorerie, Aquò d’Aquí reste fragile, voire très fragile. Seuls vos efforts, lecteurs conscients, nous garantissent un avenir.
 
En 2017 nous entendons bien fêter avec vous dignement notre trentième anniversaire. Trente ans à parler culture en partage, dignité, convivialité….larguessa, paratge, convivència. Nous en reparlerons. Pour cette fête envisagée, vous viendrez avec un journal en couleurs, rafraîchi, que vous aurez de la fierté à arborer.
 
Mais pour cela aidez-nous encore : faites nous connaître, parlez de notre action pour la langue d’oc, de notre passion pour les cultures de notre pays, de notre souci d’y voir vivre, travailler et décider ses habitants. Bref, faites-vous nos ambassadeurs.
 
Et dites bien qu’il est encore temps de recevoir notre numéro de septembre. Celui-ci vous présente notre enquête sur l’enseignement de la langue régionale au collège. Sur trois pages, témoignages, éclairages, analyses vous disent en quoi ça va mal, et pourquoi ça ne s’arrangera pas tout seul. Mais des pistes de reviscolament existent aussi. Nous en parlons.
 
Il interroge aussi Patrick Hutchinson : l’histoire de la conquête des terres occitanes par Simon de Montfort, voici 800 ans, a-t-elle à voir avec la crise de notre société aujourd’hui ? Comme un miroir tendu à travers le temps, oui ! nous dit le dramaturge écossais qui vient de triompher à Aix avec sa Crozada d’uèi. Des cathares aux migrants, d’Azalaïs au retour de l’ordre puritain nationaliste, hier nous prévient pour demain.
 
Gérard Phavorin vous dit, crayon en mains, sur une page, combien votre journal se remet, mais aussi combien les sœurs rivales d’Occitanie se charpignent pour une question d’appellation.
 
Et Médéric Gasquet-Cyrus, lui, a décidé de faire des étincelles, en cette fin d’été marqué par les incendies de forêts.
 
Rubriques, chroniques, billets, brèves, en particulier le Dedins defòra de Sarà Laurens et les mots mesclats de Reinat Toscano, complètent ce tour d’horizon de l’actualité en français et en occitan, pour vous dire la Provence, bien élargie.
 
Vous les découvrirez en chantant. Car c’est en effet Michel Bianco, le fondateur du Corrou de Berra, à qui nous laissons largement la place de nous raconter l’art de la polyvocalité, telle qu’elle a conquis les scènes d’Europe à partir des montagnes du pays niçois. Eh ! Oui… C’est comme on vous le dit : « aquò d’aquí ! »
Aquò d'Aquí va mieux grâce à ses abonnés et à ses donateurs, comme vous le dessine Gérard Phavorin...à l'humour caustique duquel nous consacrons une page du n° de septembre. "Veirem Berra" est une expression de marin provençal : "le navire arrivé à l'étang de Berre, finies les tempêtes", autrement dit, "on arrivera à bon port ! On réussira "
Aquò d'Aquí va mieux grâce à ses abonnés et à ses donateurs, comme vous le dessine Gérard Phavorin...à l'humour caustique duquel nous consacrons une page du n° de septembre. "Veirem Berra" est une expression de marin provençal : "le navire arrivé à l'étang de Berre, finies les tempêtes", autrement dit, "on arrivera à bon port ! On réussira "

Mercredi 21 Septembre 2016
Michel Neumuller




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Les articles diffusés sur Aquo d'Aqui.info sont protégés par la législation sur les droits d'auteur et le copyright. Il est interdit de les diffuser hors le site d'Aquo d'Aqui, sauf autorisation expresse de son créateur.

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Notre numéro de février mars

Aquò d'Aquí c'est d'abord un magazine d'actualité sociétale sur 28 pages sans publicités, et s'y abonner c'est disposer d'un média engagé pour la langue occitane dans sa diversité dialectale pour dire la société.

Ce numéro d'hiver vous propose bien entendu une évocation du poète et globe trotter Roland Pécout, de son histoire personnelle et de cette originalité qui a consisté pour l'essentiel à aller à la rencontre de l'autre (Afghanistan, Scandinavie, Amérique latine...) pour comprendre qui l'on était. L'homme et l'intellectuel avait plusieurs dimensions, dont l'analyse historique et littéraire d'oc n'était pas la moindre. Mais nous avons choisi de l'évoquer avec l'écrivaine et chercheuse Danielle Julien.

 

03/02/2024

Dison que...

Robert Lafont cet intellectuel qui occupa le terrain social pour une renaissance occitane

A ne pas manquer !

AIX-EN-PROVENCE. Le colloque du 14 octobre ouvre large l'éventail des domaines d'intervention d'un humaniste dont l'œuvre incontournable a généré et accompagné le second risorgimento de la conscience d'oc.


Robert Lafont fut l'artisan principal du second risorgimento de la langue d'oc. Mistral avait lié le premier à la production d'œuvres littéraires prestigieuses et à l'unité latine, Lafont, avant et après 1968 associa ce second regain à la critique coloniale et à la situation sociale comme à une relecture de l'histoire. Pour autant son œuvre littéraire et théorique, riche et diverse, marque encore tous les domaines de la création d'òc. 

 



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