Vous avez été 5608 visiteurs différents, au cours du mois de mai, à nous faire l'honneur d'un petit tour sur le site web d'Aqò d'Aquí. C'est un record absolu. Merci de votre engouement.
Nos contenus en occitan sont plus visités que par le passé, pendant que notre magazine réserve de nombreux articles à ses abonnés
Ouvert en mai 2012 le site de ce journal désormais trentenaire, devait proposer des contenus multimédias, gratuitement, au plus grand nombre.
Le but premier était de toucher un public plus jeune.
De ce point de vue, nous pouvons être satisfaits. Si, la première année, la frange des plus de 65 ans dominait notre lectorat web, celle des moins de 24 ans ne dépassait pas les 6,5% ; mais dès la seconde année, toutes les tranches d'âge étaient représentées à égalité relative.
Et les statistiques du site d'Aquò d'Aquí affichent une belle égalité homme-femmes...Une année 51% d'hommes, l'année d'après 51% de dames...
Vous êtes aux deux tiers habitants de Provence Alpes Cote d'Azur, Souvent vous vivez en Ile de France ou en Rhône Alpes Auvergne, puis en Occitanie. Enfin, bien des Catalans viennent lire leur langue soeur sur Aquò d'Aquí.
Pour en revenir aux chiffres de fréquentation, habituellement, chaque mois celle-ci évolue de 3 à 4000 en 2016-2017. Les 5608 de mai 2017,sans qu'il n'y ait d'article qui entraîne particulièrement le "buzz", signifie donc que vous êtes probablement plus nombreux à prendre l'habitude de visiter notre web et à y chercher des contenus en occitan.
Car cela aussi, nous pouvons le voir. Oh! ce sont toujours les articles rédigés en français et parlant des conditions faites en France à la langue d'oc qui vous attirent d'abord. Et de loin.
Mais le nombre de visites de nos contenus en provençal ou alpin progressent. Nous pouvons y voir votre intérêt pour notre langue que d'aucuns disent, ou aimeraient "morte".
Saluons au passage notre amie Naoko Sano. L'occitanophone japonaise, professeure de français chez elle, est connue de nos lecteurs. Depuis vingt ans elle fréquente régulièrement les événements de la vie occitaniste, et publie tout aussi régulièrement. Son portrait, en occitan, réalisé début 2013, est tout en haut du podium de vos préférences, avec près de 10 000 visiteurs. Il est le second en termes de fréquentation.
Pendant qu'Aquò d'Aquí prenait son envol au web, c'est le magasine historique qui, lui, soufrait. Baisse brutale de subvention régionale, et lente de son lectorat.
Vous y avez remédié, en 2016, en vous abonnant nombreux. Nouvelle formule, contenus différents, couleur...aujourd'hui Aquò d'Aquí joue mieux son rôle : rapprocher le public de l'envie de garder et de faire mieux vivre la langue de notre région.
Il est essentiel que vous soyez encore plus nombreux à sauter le pas, à accepter de miser 25€ pour développer notre originalité de Provençaux, de Niçois ou de Gavots, dans le monde, parmi sept milliards d'humains.
Nous vous attendons, sur le web et chaque mois sur vingt-quatre pages que vous n'aurez pas envie de jeter.
Le but premier était de toucher un public plus jeune.
De ce point de vue, nous pouvons être satisfaits. Si, la première année, la frange des plus de 65 ans dominait notre lectorat web, celle des moins de 24 ans ne dépassait pas les 6,5% ; mais dès la seconde année, toutes les tranches d'âge étaient représentées à égalité relative.
Et les statistiques du site d'Aquò d'Aquí affichent une belle égalité homme-femmes...Une année 51% d'hommes, l'année d'après 51% de dames...
Vous êtes aux deux tiers habitants de Provence Alpes Cote d'Azur, Souvent vous vivez en Ile de France ou en Rhône Alpes Auvergne, puis en Occitanie. Enfin, bien des Catalans viennent lire leur langue soeur sur Aquò d'Aquí.
Pour en revenir aux chiffres de fréquentation, habituellement, chaque mois celle-ci évolue de 3 à 4000 en 2016-2017. Les 5608 de mai 2017,sans qu'il n'y ait d'article qui entraîne particulièrement le "buzz", signifie donc que vous êtes probablement plus nombreux à prendre l'habitude de visiter notre web et à y chercher des contenus en occitan.
Car cela aussi, nous pouvons le voir. Oh! ce sont toujours les articles rédigés en français et parlant des conditions faites en France à la langue d'oc qui vous attirent d'abord. Et de loin.
Mais le nombre de visites de nos contenus en provençal ou alpin progressent. Nous pouvons y voir votre intérêt pour notre langue que d'aucuns disent, ou aimeraient "morte".
Saluons au passage notre amie Naoko Sano. L'occitanophone japonaise, professeure de français chez elle, est connue de nos lecteurs. Depuis vingt ans elle fréquente régulièrement les événements de la vie occitaniste, et publie tout aussi régulièrement. Son portrait, en occitan, réalisé début 2013, est tout en haut du podium de vos préférences, avec près de 10 000 visiteurs. Il est le second en termes de fréquentation.
Pendant qu'Aquò d'Aquí prenait son envol au web, c'est le magasine historique qui, lui, soufrait. Baisse brutale de subvention régionale, et lente de son lectorat.
Vous y avez remédié, en 2016, en vous abonnant nombreux. Nouvelle formule, contenus différents, couleur...aujourd'hui Aquò d'Aquí joue mieux son rôle : rapprocher le public de l'envie de garder et de faire mieux vivre la langue de notre région.
Il est essentiel que vous soyez encore plus nombreux à sauter le pas, à accepter de miser 25€ pour développer notre originalité de Provençaux, de Niçois ou de Gavots, dans le monde, parmi sept milliards d'humains.
Nous vous attendons, sur le web et chaque mois sur vingt-quatre pages que vous n'aurez pas envie de jeter.