Aquò d'Aqui



Pour votre journal c’est l’heure de vérité !

Assurer la succession de notre journaliste, faire plus et mieux pour vous proposer en occitan des contenus d’actualité de qualité, cela ne peut se faire sans votre aide. Et nous nous refusons à l’alternative de sa disparition. Nous pouvons compter sur vous ?

La langue occitane pour dire la société, c’est indispensable et les lecteurs d’Aquò d’Aquí en sont persuadés qui, non seulement s’abonnent à notre revue désormais bimensuelle, mais qui encore lui donnent le coup de pouce financier nécessaire quand nous le leur demandons.

 

Ils savent pourquoi ! Le prix de la revue ainsi reste bas, aussi grâce à eux retraités comme étudiants peuvent avoir accès à nos contenus, s’imprégner des valeurs occitanes, celles du respect réel de la diversité. Avec eux, la langue dira tout cela publiquement à une nouvelle génération.

 

Notre langue supposée morte par les croque morts hexagonaux respire encore grâce à vous.

 








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Situation périlleuse : nous avons besoin de vous !

Notre prochain sommaire... et l'état sans fard de notre situation


Oui, proposer un abonnement à si bas prix comporte des risques pour la survie même d'un journal en occitan. Nous y sommes, et il est temps d'un sursaut, chers abonnés, ou, si vous ne l'êtes pas, il est l'heure de nous rejoindre.



A peine nos abonnés ont-ils reçu l’Aquò d’Aquí mensuel d’octobre que nous travaillons d’arrache-pied au suivant. Et nous sommes en mesure de vous dévoiler pour partie son sommaire. Mais dans le même temps nous sommes terriblement inquiets. Notre trésorerie, toujours précaire, accuse à nouveau une descente dramatique.


Abonnez vous et en attendant voici notre prochain sommaire

Commençons par là. Notre dette s’accroît auprès de nos prestataires. Eh ! Oui, l’augmentation du prix du papier impacte notre imprimeur, et par là votre journal. Il a lui aussi des salariés et l’inflation les frappe, alors les salaires doivent au moins suivre en partie. Et de même le journaliste d’Aquò d’Aquí ne peut se nourrir longtemps de regardèlas. Là aussi des coûts sont engagés. Face à cela, nos donateurs assurent, et notre numéro d’octobre vous le dira bien.

 

Mais dans le même temps, une partie non négligeable de nos abonnés tout simplement ne renouvellent pas leur abonnement. Nous sommes habitués à ce phénomène ; ils ne savent pas toujours que leur abonnement a pris fin ; il arrive qu’au cours d’un reportage, sur un concert, une manifestation régionaliste, l’un d’entre vous rencontrant le journaliste, se dise : « Ah ! Eh bien puisqu’on se voit, je te fais le chèque, ça m’évitera d’y penser ». Oui, mais voilà, multipliez cela par cent et notre compte bancaire chute au point de ne plus pouvoir assurer quoi que ce soit. Certes, avec un prix proche de la réalité économique, un abonnement à 60€, nous n’aurions pas les mêmes problèmes, mais nous priverions trop de gens d’un accès à l’information de qualité en occitan. Alors c’est non !

 

 

Il n’y a pas d’alternative, pour nous seul votre sens de la responsabilité régionalise et votre envie de lire de l’information de qualité en langue d’oc, dans toutes ses variétés et dans ses deux graphies, peut et doit nous maintenir à flots. Nous arrêtons là ce discours, vous aurez en fin de ce billet les moyens de vous abonner, vous réabonner, ou faire passer le lien à vos connaissances.

 

Dans notre numéro de novembre, Eliana Tourtet vous parlera du prix Nobel de Littérature Annie Hernaux, dont l’ascension sociale, les problèmes vécus par la femme … et les origines culturelles et linguistiques font le cœur de son œuvre.

 

Guy Mathieu, ce merveilleux poète de Haute Provence, lui parle de son voyage (avec le Pen Club d’Occitania) au Québec. Impressions précieuses.

 

Sarà Laurens termine sa relation de la dernière condamnation à la peine capitale en France. Une histoire sordide mais tellement prévisible, close par la guillotine à Marseille en 1977.

 

Nous rendrons compte également de la problématique paysanne, à laquelle s’est attelé le Forum d’Oc : quelle place pour la langue d’oc chez les agriculteurs qui la portent encore, si ceux ci voient l’accès à la terre interdit par son prix, à l’heure où les grands groupes capitalistes investissent dans le foncier agricole ?

 

Et en ce mois de novembre qui commémore l’armistice de 1918, Nous vous parlerons de ces félibres qui, au front, relatèrent avec effroi, le plus souvent, et en occitan, ce qu’ils vivaient.

 

Oh ! Bien d’autres sujets vous attendent dans ce numéro, en attendant celui de fin d’année, que nous consacrerons largement à l’univers du livre en occitan.

 

Vous nous aidez à vous aider à garder une langue digne de parler de tout ? Alors ce lien vous sera utile  

 

A moins que vous ne préfériez utiliser ce bulletin.

 

Ne tardez pas svp, nous comptons sur vous pour que vive notre langue.

 


Mardi 25 Octobre 2022
Aquò d'Aquí




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Notre numéro de février mars

Aquò d'Aquí c'est d'abord un magazine d'actualité sociétale sur 28 pages sans publicités, et s'y abonner c'est disposer d'un média engagé pour la langue occitane dans sa diversité dialectale pour dire la société.

Ce numéro d'hiver vous propose bien entendu une évocation du poète et globe trotter Roland Pécout, de son histoire personnelle et de cette originalité qui a consisté pour l'essentiel à aller à la rencontre de l'autre (Afghanistan, Scandinavie, Amérique latine...) pour comprendre qui l'on était. L'homme et l'intellectuel avait plusieurs dimensions, dont l'analyse historique et littéraire d'oc n'était pas la moindre. Mais nous avons choisi de l'évoquer avec l'écrivaine et chercheuse Danielle Julien.

 

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Robert Lafont cet intellectuel qui occupa le terrain social pour une renaissance occitane

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AIX-EN-PROVENCE. Le colloque du 14 octobre ouvre large l'éventail des domaines d'intervention d'un humaniste dont l'œuvre incontournable a généré et accompagné le second risorgimento de la conscience d'oc.


Robert Lafont fut l'artisan principal du second risorgimento de la langue d'oc. Mistral avait lié le premier à la production d'œuvres littéraires prestigieuses et à l'unité latine, Lafont, avant et après 1968 associa ce second regain à la critique coloniale et à la situation sociale comme à une relecture de l'histoire. Pour autant son œuvre littéraire et théorique, riche et diverse, marque encore tous les domaines de la création d'òc. 

 



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