 Un Aquò d'Aquí soufflé par MistralLe numéro d'été de la revue vient de sortir, elle est entière consacrée à l'œuvre, la personne et la postérité de Frédéric Mistral.
L'historien Felip Martel, l'écrivaine Sarà Laurens, le Majoral Patrici Gauthier, le poète Joan-Ives Roier, le musicien Miquèu Montanaro et tout une fine équipe de mainteneurs et scientifiques apportent autant d'éclairages sur le personnage et sur l'œuvre de grand Frédéric, mort voici cent-vingt ans cette année. Un numéro exceptionnel !
Les articles les plus commentés
Nòstrei partenaris
|
Répertoire occitan à danser pour les élèves du GersEnseignants et enseignants retraités enregistrent un disque à l'attention de leurs collèges désireux d'initier à l'occitan via la danse.
Photo JM Espinasse DR
Vingt ans prof des écoles animateur de classes en occitan, Joan-Miquèu Espinasse, avec son collègue jeune retraité Marc Castanet, tous deux musiciens trad, viennent d’enregistrer un “bal per dròles”, bienvenu pour les professeurs des écoles désireux d’initier leurs élèves aux danses occitanes dans le Gers. 22 morceaux donnent à ce répertoire chanté un air d’éventail ouvert sur la diversité de nos musiques (photo Espinasse DR) Mercredi 3 Mars 2021
Michel Neumuller
Nouveau commentaire :
Dans la même rubrique :
|
Dison que...
Aquò d’Aquí appelle à votre générosité pour franchir un cap difficileLes transitions sont souvent un moment délicat, et votre journal vit une période de transitions où beaucoup doit être ré inventé. Cela à un coût, et l'équipe vous demande de participer au sauvetage d'Aquò d'AquíCe n’est certes pas la première fois qu’Aquò d’Aquí demande à ses lecteurs et ami(e)s une aide pour surmonter un obstacle. S’il le fait encore c’est qu’il est devant un risque vital. 
Tags
Copyright
Les articles diffusés sur Aquo d'Aqui.info sont protégés par la législation sur les droits d'auteur et le copyright. Il est interdit de les diffuser hors le site d'Aquo d'Aqui, sauf autorisation expresse de son créateur.
|
partager
En Limousin l'occitanisme refuse que l'Académie sacrifie l'enseignement en langue occitane