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Assurer la succession de notre journaliste, faire plus et mieux pour vous proposer en occitan des contenus d’actualité de qualité, cela ne peut se faire sans votre aide. Et nous nous refusons à l’alternative de sa disparition. Nous pouvons compter sur vous ?

La langue occitane pour dire la société, c’est indispensable et les lecteurs d’Aquò d’Aquí en sont persuadés qui, non seulement s’abonnent à notre revue désormais bimensuelle, mais qui encore lui donnent le coup de pouce financier nécessaire quand nous le leur demandons.

 

Ils savent pourquoi ! Le prix de la revue ainsi reste bas, aussi grâce à eux retraités comme étudiants peuvent avoir accès à nos contenus, s’imprégner des valeurs occitanes, celles du respect réel de la diversité. Avec eux, la langue dira tout cela publiquement à une nouvelle génération.

 

Notre langue supposée morte par les croque morts hexagonaux respire encore grâce à vous.

 








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Quid de Mayotte ?


A la rentrée notre mensuel vous proposera une enquête fouillée sur la société du plus récent des départements français, dont la reconnaissance de la langue formait part de la loi Molac.



Quid de Mayotte ?

Que saviez vous de la politique de promotion du créole à la Réunion ? Et question subsidiaire, que savez vous vraiment de l’Ile de Mayotte, des tensions historiques et culturelles qui travaillent ce département français, dont seuls de rares échos parviennent en Métropole ?

 

Une des grandes satisfactions de notre journal reste de pouvoir vous en dire plus sur des des situations et des enjeux qui échappent à beaucoup.


Une série d'articles sur la société méconnue de l'océan indien

Joaquim Blasco, après La Réunion, nous dévoilera la société méconnue de Mayotte (photo XDR)
Joaquim Blasco, après La Réunion, nous dévoilera la société méconnue de Mayotte (photo XDR)

Pour cela nous comptons sur des contributeurs qui ont la tête sur les épaules et la passion de transmettre, voire d’engager au débat sur des bases saines.

 

Vous plébiscitez les relectures historiques de Felip Martel, le savoir de Florence Faure-Brac sur les plantes de notre pharmacopée végétale, et à l’Université Occitane de Nimes, Matieu Peitavin, lors de ses ateliers – très ludiques – d’occitan, proposait de discuter à partir des entretiens menés par Didier Mir…

 

Des contributeurs investis, sûrs de leur expérience, de leur savoir, mais curieux de découvrir et heureux de partager, c’est la trace qu’ils laissent dans votre mémoire de lecteurs. Merci pour eux.

 

Je dois vous annoncer à ce propos la publication, dans notre numéro de septembre, d’une sacrée monographie questionnant la société de Mayotte, ce département tardivement intégré à la République française, dont le statut a longtemps été celui d’une colonie. Et d’aucuns pourront penser que cela n’a guère changé.


Que sait-on de cette société ? Qu’elle a fourni une grande partie de l’immigration souriante à Marseille, d’excellents rappeurs, et une victime emblématique de l’extrême droite, en la personne du jeune Ibrahim Ali, tué à quinze ans par des colleurs d’affiches du FN.

 

Mais ceux qui restent là-bas, que vivent-ils, quels sont les courants culturels qui traversent leur archipel, les barrières religieuses ou sociétales qui nous échappent, et la place des langues autochtones, qu’à peine la Loi Molac vient de commencer à reconnaitre ?

 

Joaquim Blasco a vécu là-bas, et il vient de vous expliquer de manière vivante, ces deux derniers numéros, comment le créole garde ses chances de rester langue véhiculaire à La Réunion, où il vit désormais. Et bien il nous dira aussi bien des choses sur la société éloignée des Comoriens de Mayotte, et combien fut tardive la préoccupation française à leur égard.

 

Bien entendu, cette enquête aussi fouillée que bien écrite vous sera proposée en occitan, dans nos numéro de septembre et d’octobre. Nous espérons que vous l’apprécierez.

 

Et si vous souhaitez ne surtout pas la manquer, l’abonnement c’est ici, ou bien.

 

 

 

 


Vendredi 16 Juillet 2021
Michel Neumuller




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Notre numéro de février mars

Aquò d'Aquí c'est d'abord un magazine d'actualité sociétale sur 28 pages sans publicités, et s'y abonner c'est disposer d'un média engagé pour la langue occitane dans sa diversité dialectale pour dire la société.

Ce numéro d'hiver vous propose bien entendu une évocation du poète et globe trotter Roland Pécout, de son histoire personnelle et de cette originalité qui a consisté pour l'essentiel à aller à la rencontre de l'autre (Afghanistan, Scandinavie, Amérique latine...) pour comprendre qui l'on était. L'homme et l'intellectuel avait plusieurs dimensions, dont l'analyse historique et littéraire d'oc n'était pas la moindre. Mais nous avons choisi de l'évoquer avec l'écrivaine et chercheuse Danielle Julien.

 

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Robert Lafont cet intellectuel qui occupa le terrain social pour une renaissance occitane

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AIX-EN-PROVENCE. Le colloque du 14 octobre ouvre large l'éventail des domaines d'intervention d'un humaniste dont l'œuvre incontournable a généré et accompagné le second risorgimento de la conscience d'oc.


Robert Lafont fut l'artisan principal du second risorgimento de la langue d'oc. Mistral avait lié le premier à la production d'œuvres littéraires prestigieuses et à l'unité latine, Lafont, avant et après 1968 associa ce second regain à la critique coloniale et à la situation sociale comme à une relecture de l'histoire. Pour autant son œuvre littéraire et théorique, riche et diverse, marque encore tous les domaines de la création d'òc. 

 



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