Aquò d'Aqui


Lo dire d’Elie Lebre (15)

Comment un paysan provençal du XXème siècle disait son temps, les saisons, le bon sens... dans sa langue de tous les jours. Quinzième semaine…

Ouvrage édité par l'Aeloc
L’agriculteur érudit et curieux Elie Lèbre (Cucuron –  Luberon : 1920-91) par bonheur rencontra l’occitaniste Madeleine Jaquier, et le fruit d’années de collectage nous a permis d’en savoir beaucoup sur la manière vivante et quotidienne de parler provençal.
 
Avec l’aimable autorisation d’Alain Barthelémy-Vigouroux qui a organisé la masse de notes et d’enregistrements issus de ce travail, nous vous en offrons un morceau chaque semaine, en vous recommandant d’acquérir le livre édité par l’Association Pour l’Enseignement de la Langue d’Oc .






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En cliquant sur la pièce jointe du premier paragraphe, vous téléchargerez un fichier sonore, en fait le même article, mais lu à voix haute. L'initiative nous vient d'un constat : certains abonnés ont hélas une vue déficiente.

Voici un bon moment que nous y pensions; enregistrer certains articles et les proposer sur notre site web, faire entendre à celles et ceux qui souhaitent avoir la langue dans l'oreille, savoir comment on la prononce. Mais c'est un abonné de notre mensuel, devenu mal voyant, qui nous a incité à sauter le pas.














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Moussu T e lei Jovents à Paris

L'opérette marseillaise de retour à Paris


Escapade parisienne et chaleureuse pour le groupe ciotaden, qui renouvelle le pari de Scotto et Alibert ; parler de Marseille dans ce malheureux pays dépourvu de Canebière.



Moussu T aux Trois Baudets(photo JB DR)
Moussu T aux Trois Baudets(photo JB DR)
Moussu T et lei Jovents se sont offerts une petite escapade parisienne le temps d’un week end de mi-septembre:  “histoire de voir dans le Nord si  on est bien”.
 
Le concert avait lieu au théâtre des Trois Baudets, et c’est dans une humeur bon enfant que le groupe ciotaden a livré son répertoire d’opérettes marseillaises.
 
Le groupe ne pouvait pas mieux tomber car c’est ici même que les chansonniers marseillais  comme  Alibert étaient venus dans les années 30  “s’essayer à Paris”.
 
Comme 80 ans auparavant, le cocktail d’humour et de bonne humeur a parfaitement fonctionné. Et c’est devant un public conquis que les Jovents se sont produits pendant près de 2 heures, sous les rappels du public. 
 
De la divine “Venise provençale” au “Gabian du bout du quai” le balèti a continué jusque tard dans la nuit.
 
Et au coeur de celle-ci, toute la bande des Jovents et son inimitable Tatou on partagé un verre avec les spectateurs.
 
Avant de repartir “Entre Marseille et Toulon”, comme l’aurait entonné Alibert, le groupe s’est encore produit le 27 Septembre à Tremblay (93). 
 
Mais que les  Parisiens et les Occitans expatriés se tiennent prêts ! Tatou et Blu reviendront le 5 décembre au Cabaret sauvage pour, cette fois-ci, un concert du Massilia Sound System, dont on fêtera le trentième anniversaire.

Lundi 29 Septembre 2014
Julian Bonnefont




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