Composition Francis Cabrel et Documentaire Michel Feltin-Palas
D’une part il y a Michel Feltin-Palas. Le journaliste de l’Express créateur d’une lettre hebdo en défense des langues de France, et du français, sort un documentaire de 52 mn, « Une langue en plus », que diffusera France 3, aux dernières nouvelles, le 24 septembre prochain… espérons que ce ne sera pas entre 23 h et 3h du matin !
D’autre part, mais du même côté, voici le chanteur Francis Cabrel. On ne présente plus ses actions en faveur de l’occitan et, en général, de la diversité linguistique. Il soutient le projet de Feltin-Palas, et très concrètement en composant une chanson, mise en ligne le 18 septembre prochain, et qui sera la musique du film. Pour cela l’artiste a convié chez lui à Astafort, une équipe de consœurs et confrères, qui ont déjà participé à ses sessions annuelles de compositions en commun où l’on trouve, à côté de Liza l’Occitane, des interprètes qui chantent en créole, basque, corse, catalan et d’autres langues autochtones de France.
D’autre part, mais du même côté, voici le chanteur Francis Cabrel. On ne présente plus ses actions en faveur de l’occitan et, en général, de la diversité linguistique. Il soutient le projet de Feltin-Palas, et très concrètement en composant une chanson, mise en ligne le 18 septembre prochain, et qui sera la musique du film. Pour cela l’artiste a convié chez lui à Astafort, une équipe de consœurs et confrères, qui ont déjà participé à ses sessions annuelles de compositions en commun où l’on trouve, à côté de Liza l’Occitane, des interprètes qui chantent en créole, basque, corse, catalan et d’autres langues autochtones de France.
Quand le studio corrigeait Francis Cabrel débutant
Le film sera consacré à la défense de la diversité culturelle, et a été réalisé par Cyrille Clauss, sur une trame de Michel Feltin-Palas.
Quant à Francis Cabrel, son intérêt actif pour sa langue occitane vient sans doute, estime-t-il, d’une prise de conscience née d’une répression de sa manière de parler-chanter. Il évoque cet épisode pour le micro de la radio RTL, interrogé par Augustin Trapenard à la fin d’aout dernier.
« Je venais d’entrer dans le studio, à peine descendu du train ; les musiciens étaient là, quelle grande joie, ça arrivait enfin ! Je chante « de milliers de roses… » dans Petite Marie, et le gars derrière la vitre arrête tout et me dit : « Ah ! non c’est pas comme ça qu’on dit le mot « rose », on dit « rôses ». J’ai pas résisté, c’était l’époque où je ne résistais pas. Ça m’a marqué, que ce jour-là ils aient eu raison. Par la suite j’ai résisté. »
Donc, nous cocherons la date sur le calendrier, ou sur l’agenda numérique… 24 septembre, heure encore inconnue, donc à surveiller !
Quant à Francis Cabrel, son intérêt actif pour sa langue occitane vient sans doute, estime-t-il, d’une prise de conscience née d’une répression de sa manière de parler-chanter. Il évoque cet épisode pour le micro de la radio RTL, interrogé par Augustin Trapenard à la fin d’aout dernier.
« Je venais d’entrer dans le studio, à peine descendu du train ; les musiciens étaient là, quelle grande joie, ça arrivait enfin ! Je chante « de milliers de roses… » dans Petite Marie, et le gars derrière la vitre arrête tout et me dit : « Ah ! non c’est pas comme ça qu’on dit le mot « rose », on dit « rôses ». J’ai pas résisté, c’était l’époque où je ne résistais pas. Ça m’a marqué, que ce jour-là ils aient eu raison. Par la suite j’ai résisté. »
Donc, nous cocherons la date sur le calendrier, ou sur l’agenda numérique… 24 septembre, heure encore inconnue, donc à surveiller !